L’idée qu’il serait physiquement possible de stabiliser une industrie et une économie, de réduire les émissions de CO₂ tout en procurant une plus grande souveraineté grâce à l’énergie du vent, du rayonnement solaire ou d’origine nucléaire pourrait ne relever que de la croyance, faisant de la science de la transition énergétique une pseudoscience.
